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Depuis son accident de ski survenu le 29 décembre 2013, Michael Schumacher semblait aller mieux. En effet, après avoir passé cinq mois dans le coma, le pilote de Formule 1 avait regagné son domicile, où il est depuis soigné par une équipe de médecins spécialisés. En avril dernier, Luca Di Montezemolo, l’ancien président de Ferrari, s’était montré optimiste quant à l’évolution de Michael Schumacher, comme l’avait rapporté Non Stop People. "Je suis confiant pour la rééducation de Schumacher. Je le dis avec force et conviction, c’est encore un compagnon de vie", avait-il estimé. Seulement, peu après ces déclarations, de nouvelles révélations avaient créé le buzz.
Michael Schumacher ne pèse plus que 45 kilos
En effet, un neurochirurgien qui s’est occupé de la chirurgie au cerveau de la star avait, sous couvert d’anonymat, évoqué l’état de santé critique du Baron Rouge. Ses propos ont été rapportés ce week-end dans les colonnes du site Newseveryday.com. "Il ne pèse plus que 45 kilos et seul un miracle peut le maintenir en vie", a-t-il déploré avant de poursuivre : "Il faut juste attendre. C’est une questions d’heures". Une annonce fracassante qui confirme alors le bilan de santé établi il y a quelques mois par une source proche du pilote. "Il ne peut toujours pas marcher ou parler et a une conscience très limitée de ce qui l’entoure (...) Il ne pèserait désormais plus que 45 kilos", apprenait-on en septembre dernier.
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L'enquête se poursuit au lendemain des attaques, revendiquées par l'Etat islamique, qui ont fait une trentaine de morts et 200 blessés dans la capitale belge
Deux kamikazes des attentats de Bruxelles ont été identifiés comme étant les frères Khalid et Brahim El Bakraoui, recherchés dans le cadre de l'enquête sur les attentats de novembre à Paris, indique la RTBF, mercredi 23 mars. Une information confirmée à France 2 par une source proche de l'enquête. Un troisième homme est toujours recherché après les attentats qui ont frappé l'aéroport. Ces attaques revendiquées par l'Etat islamique ont fait une trentaine de morts et plus de 200 blessés, selon le dernier bilan officiel. La Belgique va observer à partir de mercredi un deuil national de trois jours
La police à la recherche d'un troisième homme. Une photo des trois suspects de l'aéroport a été diffusée par les autorités. Les deux hommes en noir, portant un gant à la main gauche, sont probablement morts dans l'attentat, selon le parquet fédéral. Ces deux hommes, ou en tout cas l'un d'eux, pourraient être les frères Khalid et Brahim El Bakraoui, mais cette information n'a pas été confirmée par les autorités belges. Le troisième, portant veste et chemise claires, des lunettes sous un chapeau noir et pour lequel un avis de recherche a été lancé, est "activement recherché".
Un chauffeur de taxi a transporté les trois suspects à l'aéroport. C'est lui qui a mené les enquêteurs à l'adresse de Schaerbeek, où ont été découverts un engin explosif et un drapeau de l'EI, selon le parquet fédéral. Il avait transporté les trois suspects à l'aéroport mardi matin et a également permis de retrouver la troisième bombe qui n'a pas explosé.
Un bilan amené à évoluer. Les attentats à l'aéroport ont fait 14 morts et 96 blessés selon les pompiers. L'explosion dans la rame de métro à la station Maelbeek a fait "entre 15 et 20 morts" et une centaine de blessés, toujours selon les pompiers. Huit Français ont été blessés dans les attentats de Bruxelles, dont trois grièvement, selon un bilan provisoire du ministère des Affaires étrangères.
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L'organisation jihadiste Etat islamique (EI) a revendiqué les attentats qui ont touché l'aéroport Bruxelles-Zaventem et une station de métro de la capitale belge, rapporte l'agence de presse Amaq News, affiliée à l'EI, mardi 22 mars. "Des combattants de l'Etat islamique ont perpétré une série d'attentats, avec des ceintures d'explosifs et des bombes, mardi, visant un aéroport et une station de métro du centre de la capitale belge Bruxelles", écrit cette agence. Les attaques ont fait une trentaine de morts selon des derniers bilans.
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Trois attentats ont touché l'aéroport international de la capitale belge et la station de métro Maelbeek, mardi matin.
Trois explosions ont retenti à Bruxelles (Belgique), mardi 22 mars, à l'aéroport et dans le métro. Un peu avant 8 heures, deux explosions ont frappé l'aéroport de Bruxelles-National, à Zaventem. Un attentat "probablement provoqué par un kamikaze", selon le procureur fédéral belge. Le Premier ministre belge a dénoncé des attentats "aveugles, violents et lâches". Le président François Hollande déclare, lui, que "le terrorisme a frappé la Belgique, mais c'est l'Europe qui est visée et c'est tout le monde qui est concerné"
Un bilan encore incertain. Les explosions à l'aéroport ont fait au moins 11 morts et 81 blessés, selon la ministre belge de la Santé, Maggie De Block. Le bourgmestre de Bruxelles fait état d'une vingtaine de morts et 106 blessés dans le métro
Un attentat "probablement kamikaze" à l'aéroport. Si deux explosions ont été entendues dans le hall des départs de l'aéroport, le procureur fédéral belge a évoqué "un attentat probablement kamikaze". Des tirs auraient aussi été entendus dans le hall, avant qu'une personne ne crie quelque chose en arabe et que les explosions retentissent, ont raconté plusieurs témoins sur place
L'alerte antiterroriste relevée au niveau maximal. Elle était de 3 sur 4 depuis les attentats du 13 novembre à Paris, elle est repassée à 4 sur 4 ce mardi matin. Les trams, métros et bus sont à l'arrêt, les écoles fermées et les élèves confinés. Les vols, les Thalys et les Eurostar au départ et à destination de la capitale belge ont été annulés
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L'ancien président est soupçonné, avec le concours de son avocat, d'avoir tenté d'influencer une décision de justice le concernant, via un haut magistrat de la Cour de cassation : Gilbert Azibert.
Les écoutes de Nicolas Sarkozy ont été validées par la Cour de cassation, mardi 22 mars, dans l'affaire Bettencourt. Depuis 2014, l'ancien président est mis en examen pour "recel de violation du secret professionnel, corruption active et trafic d'influence actif". Il est soupçonné, avec le concours de son avocat (également mis en examen), d'avoir tenté d'influencer une décision de justice le concernant, via un haut magistrat de la Cour de cassation : Gilbert Azibert. En échange de ces services, Nicolas Sarkozy aurait promis à Gilbert Azibert d'user de son influence pour lui obtenir un poste de prestige à Monaco
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