• Le bilan des attaques, provisoire, est de 129 morts et 352 blessés. L'enquête sur les terroristes avance
    Les enquêteurs commencent à identifier les auteurs des attentats les plus meurtriers jamais commis en France, vendredi 13 novembre - un "acte de guerre" au cœur de Paris revendiqué par le groupe jihadiste Etat islamique (EI) et qui a fait au moins 129 morts. Le père et le frère d'un des kamikazes qui a attaqué le Bataclan ont été placés en garde à vue, annoncent samedi soir des sources proches de l'enquête. 

    • Trois équipes de terroristes. Sept assaillants sont morts, selon le procureur de Paris, dans cette série de six attaques, menées "très vraisemblablement [par] trois équipes de terroristes" ciblant les spectateurs d'un concert de rock au Bataclan, des consommateurs attablés à des terrasses de cafés et restaurants du centre de la capitale et près du Stade de France, au nord de Paris. 

    • Des kamkazes identifiés. Deux kamikazes ont déjà été identifiés, dont un des assaillants du Bataclan, un Français de 29 ans né à Courcouronnes (Essonne), dans la banlieue parisienne, condamné pour des délits de droit commun mais jamais incarcéré. Il a été identifié d'après l'empreinte d'un doigt sectionné, a précisé le procureur, ajoutant qu'il avait "fait l'objet d'une fiche S pour radicalisation". Et un passeport syrien "au nom d'un individu né en septembre 1990 en Syrie", selon le procureur, a aussi été retrouvé près du corps d'un assaillant du Stade de France. Mais cet homme "n'était pas connu de services de renseignement français". 

    • La piste belge. Les enquêteurs belges ont arrêté ces "trois individus", qui ne sont "pas connus des services de renseignement français", a indiqué le procureur de Paris. Parmi les véhicules utilisés par les terroristes, figurent un véhicule Seat et un véhicule Polo "immatriculé en Belgique (...) loué par un individu de nationalité française résidant en Belgique". "Cet individu a fait l'objet ce matin d'un contrôle routier à la frontière belge, à bord d'un autre véhicule -qui n'était donc ni la Seat ni la Polo - à bord duquel se trouvaient deux autres personnes elles aussi résidant dans la région de Bruxelles".



    • Le bilan est extrêmement lourd. Le bilan est sans précédent: au moins 129 morts, outre les assaillants, et 352 blessés, dont 99 en "urgence absolue", selon le procureur.
    La France en état d'urgence et "en guerre". François Hollande a décrété l'état d'urgence et les contrôles aux frontières. En Ile-de-France, toutes les compétitions sportives du week-end sont suspendues, écoles et université restent fermées samedi, tout comme quelques stations de métro parisiennes. Dans cet article, vous trouverez l'essentiel des mesures prises. "Je veux dire aux Français que nous sommes en guerre. (...) Et parce que nous sommes en guerre, nous frapperons cet ennemi pour le détruire en France, en Europe, mais aussi en Syrie et en Irak. Nous répondrons au même niveau que cette attaque. Et nous gagnerons", a assuré le Premier ministre, samedi soir.

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  • Je veux dire aux Français que nous sommes en guerre", déclare Manuel Valls. Suivez notre direct
    Des attentats sans précédent dans la capitale. Les enquêteurs tentent samedi 14 novembre d'identifier les corps déchiquetés des assaillants, au lendemain des attentats les plus meurtriers jamais commis en France, revendiqués par le groupe jihadiste État islamique (EI), qui a fait au moins 129 morts, selon un bilan encore provisoire. Sept "terroristes" sont morts, a précisé le procureur de la République de Paris. Le président de la République a annoncé un deuil national de trois jours. "Je veux dire aux Français que nous sommes en guerre. (...) Et parce que nous sommes en guerre, nous frapperons cet ennemi pour le détruire en France, en Europe, mais aussi en Syrie et en Irak. Nous répondrons au même niveau que cette attaque. Et nous gagnerons", a assuré le Premier ministre, samedi soir.

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  • Les enquêteurs commencent à identifier les auteurs des attentats les plus meurtriers jamais commis en France, vendredi 13 novembre - un "acte de guerre" au cœur de Paris revendiqué par le groupe jihadiste Etat islamique (EI) et qui a fait au moins 129 morts. Le père et le frère d'un des kamikazes qui a attaqué le Bataclan ont été placés en garde à vue, annoncent samedi soir des sources proches de l'enquête. 

    • Trois équipes de terroristes. Sept assaillants sont morts, selon le procureur de Paris, dans cette série de six attaques, menées "très vraisemblablement [par] trois équipes de terroristes" ciblant les spectateurs d'un concert de rock au Bataclan, des consommateurs attablés à des terrasses de cafés et restaurants du centre de la capitale et près du Stade de France, au nord de Paris. 

    • Des kamkazes identifiés. Deux kamikazes ont déjà été identifiés, dont un des assaillants du Bataclan, un Français de 29 ans né à Courcouronnes (Essonne), dans la banlieue parisienne, condamné pour des délits de droit commun mais jamais incarcéré. Il a été identifié d'après l'empreinte d'un doigt sectionné, a précisé le procureur, ajoutant qu'il avait "fait l'objet d'une fiche S pour radicalisation". Et un passeport syrien "au nom d'un individu né en septembre 1990 en Syrie", selon le procureur, a aussi été retrouvé près du corps d'un assaillant du Stade de France. Mais cet homme "n'était pas connu de services de renseignement français".
    La piste belge. Les enquêteurs belges ont arrêté ces "trois individus", qui ne sont "pas connus des services de renseignement français", a indiqué le procureur de Paris. Parmi les véhicules utilisés par les terroristes, figurent un véhicule Seat et un véhicule Polo "immatriculé en Belgique (...) loué par un individu de nationalité française résidant en Belgique". "Cet individu a fait l'objet ce matin d'un contrôle routier à la frontière belge, à bord d'un autre véhicule -qui n'était donc ni la Seat ni la Polo - à bord duquel se trouvaient deux autres personnes elles aussi résidant dans la région de Bruxelles".



    • Le bilan est extrêmement lourd. Le bilan est sans précédent: au moins 129 morts, outre les assaillants, et 352 blessés, dont 99 en "urgence absolue", selon le procureur. 

    • La France en état d'urgence et "en guerre". François Hollande a décrété l'état d'urgence et les contrôles aux frontières. En Ile-de-France, toutes les compétitions sportives du week-end sont suspendues, écoles et université restent fermées samedi, tout comme quelques stations de métro parisiennes. Dans cet article, vous trouverez l'essentiel des mesures prises. "Je veux dire aux Français que nous sommes en guerre. (...) Et parce que nous sommes en guerre, nous frapperons cet ennemi pour le détruire en France, en Europe, mais aussi en Syrie et en Irak. Nous répondrons au même niveau que cette attaque. Et nous gagnerons", a assuré le Premier ministre, samedi soir.

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  •  Ce samedi, le Parisien/Aujourd'hui en France s'intéresse à une initiative de plusieurs compagnies d'assurance. Elles proposent aux assurés d'installer une boîte noire dans le véhicule. Si l'équipement juge la conduite bonne, un rabais pouvant aller jusqu'à 40% peut être fait.

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